Une sortie dans les Vosges: étendues neigeuses
Je trace ma route dans le col, The Rollings Stones dans les oreilles, chantant à plein poumons comme j'aime à le faire quand je me sens bien. Et j'arrive alors à ce grand virage.
Je trouve un peu de place à côté d'une autre voiture pour me garer, le cul (de la voiture voyons) pas trop sur la route. Je sors difficilement de la voiture, l'appareil à la main. Un petit chien me fonce dessus, je le caresse un peu (et dire que j'avais peur des chiens y'a pas si longtemps, à cause d'une belle morsure à la hanche droite) pendant que lui me renifle. Non je sentais pas mauvais (quoi que...), ça devait être l'odeur de mon chien Pacha.
Le chien s'éloigne, et je peux commencer à prendre le paysage enneigé en photo.
Après quelques minutes dehors, je ne sens plus mes doigts frigorifiés. A tel point que j'ai du mal à utiliser l'appareil photo. Je me réfugie donc dans ma voiture, allume le chauffage et place mes mains proches de l'air d'air chaud salvateur. Le sang fini par recirculer. Je décide de nettoyer l'objectif de mon appareil. Mais j'avais pas prévu que mon appareil serait tellement froid que le produit sur le chiffon gèlerait sur l'objectif au lieu de sécher. Bilan, j'attends encore un peu que l'appareil se réchauffe lui aussi et je recommence sa toilette.
Pendant ces longues minutes à cet endroit, aucune voiture ne s'est montrée sur la route, alors je décide de sortir le trépied, et de poser pour la postérité. Me voilà donc devant vous, votre photographe qui espère vous apportez un peu de ses rêves. Désolé pour la grimace, j'avais le soleil en plein dans les yeux, et il tappait fort là-haut (enfin niveau lumière, pas niveau chaleur).
Je trouve un peu de place à côté d'une autre voiture pour me garer, le cul (de la voiture voyons) pas trop sur la route. Je sors difficilement de la voiture, l'appareil à la main. Un petit chien me fonce dessus, je le caresse un peu (et dire que j'avais peur des chiens y'a pas si longtemps, à cause d'une belle morsure à la hanche droite) pendant que lui me renifle. Non je sentais pas mauvais (quoi que...), ça devait être l'odeur de mon chien Pacha.
Le chien s'éloigne, et je peux commencer à prendre le paysage enneigé en photo.
Après quelques minutes dehors, je ne sens plus mes doigts frigorifiés. A tel point que j'ai du mal à utiliser l'appareil photo. Je me réfugie donc dans ma voiture, allume le chauffage et place mes mains proches de l'air d'air chaud salvateur. Le sang fini par recirculer. Je décide de nettoyer l'objectif de mon appareil. Mais j'avais pas prévu que mon appareil serait tellement froid que le produit sur le chiffon gèlerait sur l'objectif au lieu de sécher. Bilan, j'attends encore un peu que l'appareil se réchauffe lui aussi et je recommence sa toilette.
Pendant ces longues minutes à cet endroit, aucune voiture ne s'est montrée sur la route, alors je décide de sortir le trépied, et de poser pour la postérité. Me voilà donc devant vous, votre photographe qui espère vous apportez un peu de ses rêves. Désolé pour la grimace, j'avais le soleil en plein dans les yeux, et il tappait fort là-haut (enfin niveau lumière, pas niveau chaleur).
[Prochaine étape: le sommet du Champ du Feu]